Après 3 jours de visite à Porto et une semaine dans le nord du Portugal, voici l’heure du bilan :
C’était ma seconde visite dans ce pays et j’en garde toujours une impression très positive.
Les plus :
– Les gens sont accueillants. Beaucoup parlent français (plus que l’anglais) et tous font l’effort d’essayer qu’on se comprenne.
– Le billet d’avion est peu cher : pour 2 en octobre, on a payé 127 €. Les locations de voiture aussi sont abordables (80 € pour 10 jours) mais attention au montant de la franchise qui peut dépasser 1000 €.
– De manière générale, les prix sont moins chers qu’en France et c’est toujours appréciable. Ça permet d’aller un peu plus au resto par exemple. Tout compris, pour 10 jours pour 2 avec vol, avion, location de voiture, hébergement, visites, quelques cadeaux et pas mal de restos, on en a eu pour un peu moins de 1500 €.
– J’ai adoré toutes les petites boutiques dans Porto et notamment les épiceries avec toutes les petites cases à épices, à bonbons, pour les fruits secs… J’ai fait une cure de figues séchées délicieuses !
– Les pâtisseries, le pain et le vin de Porto sont bien bons.
– Les chemins de randonnées sont bien balisés et entretenus. Les paysages sont magnifiques.
– Les villes possèdent un beau patrimoine avec de belles façades, de nombreuses églises, des murailles…
– Le climat est agréable et permet de prolonger l’été.
Les moins :
– La nourriture dans les restaurants portugais basiques et abordables est souvent peu originale : en gros, ils servent du poulet, du porc, une très fine tranche de bœuf ou parfois du poisson accompagné de frites surgelées, de riz sans sauce et de salade. C’est correct, les quantités sont énormes mais ça tourne un peu en rond sans être génial.
– La francesinha, une spécialité culinaire de Porto, est censée être un croque-monsieur amélioré. Un émigré portugais revenu de France l’a crée. Dans le pain de mie, vous trouverez du jambon, de la saucisse, du fromage, une escalope de bœuf ou de porc difficile à croquer, le tout recouvert d’une sauce piquante à base de bière, de tomate et de vin de Porto. C’est mangeable, mais de là à en faire une spécialité du Portugal …
– L’odeur de morue séchée est désagréable quand on entre dans une supérette.
– Les incendies et surtout la fumée respirée pendant 2 jours m’ont beaucoup fait tousser et nous ont bloqués à la fin du séjour. Mais ça, malheureusement, je sais que c’est un moindre mal par rapport à ceux qui ont péri ou ont perdu leur maison à cause de ces feux. J’espère que les arbres repousseront vite et seront mieux gérés dans cette région du Portugal …
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